Les Détricoteuses

Les Détricoteuses – émission menstruelle participative. 1 mot totem interprété à la sauce féministe avec des créations de 7min qui détricotent nos rapports genrés. Contactez-nous pour participer : lesdetricoteuses91.2@gmail.com

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“C’est la rentrée en 4eme de la petite Vic, 13 ans. Papa la dépose devant le collège. En guise d’aurevoir, un bisou sur la bouche et une tape sur les fesses. « Allez grouille ! » Dis papa, avant de rejoindre maman.. puis plus tard, sa maitresse, présentée comme une nymphomane. Mémé joue de la harpe dans un grand orchestre, se vante régulièrement de dîner avec les grands ce ce monde. Papa et maman mangent des oeufs brouillés aux truffes en peignoir Lacoste. Et puis il y a une vague histoire de boum au milieu de tout ça… Sophie devient alors “le symbole d’une génération”. Elle dénonce les agissements de Gérard Dépardieu dès 1985, mais on retiendra surtout un sein qui dépasse ou un discours bafouillé …”

Extrait de l’édito de Valentine pour l’émission SOPHIE MARCEAU

“Sororité : lieu de repos à l’abri du vent , qui nous fera dire que ça ira 
Sommité : c’est pas de notre faute décidément, tu voudrais qu’on soit le grain de sable
mais on est le sahara!
Heureusement qu’on n’est pas payées à être conscientes car sinon on serait blindées de thunes
Attention, on vous voit arriver avec vos idées rampantes, car nous, on se trouve en haut de la DUNE”

Extrait de l’édito de Marjo pour l’émission DUNE

“Je me suis retrouvée dans la rue après minuit, c’était la première fois que je voyais mon quartier comme ça, et j’ai même fait peur à un mec qui ne m’avait pas vu arriver. Dix-neuf chouettes ont été comptées dans la ville de Nantes en 2022 et c’est ce rapace nocturne qui sera notre source d’inspiration pour cette émission.”

Extrait de l’édito de Marianne pour l’émission CHOUETTE

” Apparemment dans certains trains, il n’y a plus le droit de manger. Soit les messages sont des injonctions interminables, terrifiantes, effrayantes, révoltantes…soit des messages incompréhensibles qui nous cassent la tête : finalement ne serait-ce pas une métaphore parfaite de notre société patriarcale ?”

Extrait de l’édito de Julie pour l’émission TER